Les Culottées en Save.nt

Dans nos toutes premières émissions, nous nous sommes très tôt intéressées à l’éducation.
Il faut dire qu’on commençait en Octobre 2020, le gouvernement de Macron remettait en cause la liberté d’instruire nos enfants à la maison, loi qu’il a passée 8 mois plus tard. (il restreint l’ief >> Restriction de l’IEF (Instruction En Famille) pour la rentrée scolaire 2021 : Attention, Enfants en Danger)
Très tôt dans notre trio nous avons pressenti l’importance de l’éducation, et de notre liberté à faire des choix.

Aujourd’hui il sera question d’éducation, mais aussi de ce que l’on n’apprend pas à l’école et les alternatives.
Le sujet de cette émission est “L’école de la vie” car l’éducation, les apprentissages, l’instruction ne se fait pas que dans des salles de classe, et tout ne repose pas sur des équipes pédagogiques.

Notre invité : Julien Peron

Il a tendance à se considérer de manière métaphorique comme un jardinier, qui sème des graines depuis + de 20 ans pour inspirer les gens autour du bonheur, donner de l’espoir, porter un regard un peu différent sur la Vie.

Chef d’entreprise intuitif, réalisateur, producteur, créateur de la marque Innovation en Education et auteur du livre sorti en juin qui s’appelle “C’est quoi le Bonheur pour vous”

Convaincu depuis longtemps que tout part de l’éducation, il s’investit entièrement sur ce sujet.
Il a créé le Festival pour L'École de la vie, organise des congrès Innovation en Education et anime un podcast du même nom…
Notre invité du jour est en studio à nos côtés et il s’appelle Julien Peron

Dans notre société, si attendre un enfant reste valorisant pour la mère en devenir, cela ne signifie pas pour autant que les femmes soient choyées, protégées, épaulées… oh non, loin s’en faut! Nous parlons aujourd'hui de la périnatalité en tant que féministe, de l'acceptation et de l'accompagnement de la grossesse, ainsi que des coûts sociaux et financiers tournant autour de ces 9 mois.

Invitées:

• Audrey Lambert, accompagnante en haptonomie à Toulouse : elle travaille pour “Ma Bulle en Santé, à la Clinique Rive Gauche et à Espace Minimes. https://haptonomietoulouse.fr/
• Hélène Carrèra, périnatalité , https://www.hc-accompagnanteperinatale.fr/
• Marie Pawlowski, accompagnante périnatale proposant l’hypnose et co-or17ganisatrice du Festival Parents & Cie Samedi 21 octobre de 9h à 19h (Pibrac)

Les petits écrans font-ils de grands problèmes?
Nous explorons le sujet avec deux invité.e.s spécialisé.e.s sur le sujet:

• Juliette Serceau, coach parental
• Quentin Parisot, consultant en informatique intervenant pour l'association Toulousaine Génération Écrans La Culottée du jour est Heidi Lamar, dont l'invention a révolutionné nos vies. Bonne écoute :)

En dehors de ce que propose l’éducation nationale, nous voulions soulever des autres possibles pour l’instruction de nos enfants.

Invitées :

• Karen SIMONET, responsable pédagogique de l’école associative Arc-en-Ciel basée sur la méthode Montessori (Saint-Paul-sur-Save, 31)
• Manon, mère de 3 enfants pratiquante et défendante de l’instruction en famille, habitant dans le Nord-Ouest Toulousain Interviews et enregistrements :
• Micro-trottoir de la manifestation pour le maintien du droit à l’Instruction en Famille
• Témoignage de Jean-Pierre Unal (inspecteur académique de la circonscription de Léguevin) → IEF en attente des décrets d’application

"Moi ce que j'aime chez Daniela/
c'est que l'on peut s'y mettre a 3/elle est toujours d'accord/pour battre des records" Elmer Food Beat

"Femme dévoreuse de minets/Femme directeur de cabinet/A la fois sensuelle et pudique/Et femme chirurgien-esthétique” Michel Sardou…auquel on doit aussi «J’ai envie de violer des femmes/De les forcer à m’admirer/Envie de boire toutes leurs larmes/Et de disparaître en fumée».

Ces paroles vous disent sans doute quelque chose car elles sont issues de chansons populaires françaises. On les connaît parfois par cœur et la mélodie qui y est associée nous invite à la danse, à se prendre dans les bras et à chanter à tue-tête…

Mais, si on tend un peu l'oreille…n’y a t’il rien qui devrait nous interpeller? Voire nous révolter?

Etre bercé.e.s par ces chansons nous a habitué aux messages qu’elles véhiculent, comme qqc relevant de la normalité. Et c'est bien là toute la perversité du sexisme ordinaire, du système patriarcal qui régit l'industrie musicale et du spectacle.
Les comportements sexistes sont donc une forme de discrimination basée sur l’inégalité structurelle de la femme sous le capitalisme. Les différentes formes de sexisme tels que les slogans péjoratifs, les préjugés, les rôles de genre inversés, etc., existent à cause des conditions sociales qui traitent les femmes différemment des hommes. Comprendre ses racines matérielles est aussi la base d’un programme de transition efficace pour combattre le sexisme.
Alors aujourd'hui, on aimerait éveiller vos oreilles à mieux écouter les paroles et à y repérer ce qui n'est pas, ce qui n'est plus du tout acceptable